lundi 11 décembre 2006

Plus on va vite, plus on perd du temps lorsque l’on s’arrête.

Le monde aujourd’hui va tellement vite qu’on a l’impression de ne plus pouvoir s’arrêter. En effet on perd trop de terrain lorsqu’on s’arrête ou même si seulement on ose ralentir, le verdict est immédiat : La « moyenne » chute

Il faut réapprendre à flâner, à se détendre, ne pas devoir répondre aux stimuli venant de l’extérieur. Mais ce n’est pas facile, sollicité que l’on est à tout moment par la radio, la télévision, le baladeur, le magnétoscope ou le lecteur de DVD qu’il faut ‘programmer’ et puis ‘visionner’, (éventuellement en mode ‘accéléré’ !!! ) . Mais ces médias dépendent cependant encore de nous, ou tout au moins devraient en dépendre. Ensuite plus contraignant car l’origine est extérieur à nous-même : le mail qui peut cependant encore être lu« plus tard » . Plus prégnant : le téléphone fixe et ensuite et cela partout ou vous l’avez avec vous et que vous ne le coupez pas (mais dans ce cas pourquoi l’avoir avec soi ? ) : le téléphone portable.

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